Pas facile de rentrer dans la vie adulte. À 24 ans, j’ignore encore à partir de quel moment on peut se considérer comme un adulte. En attendant, j’aime me définir comme une “jeune adulte”, une sorte de transition entre l’adolescence et l’âge adulte. Pour l’instant ma définition d’un adulte se résumerait à une personne indépendante financièrement , qui sait gérer tout le côté administratif que comporte notre société. Un adulte a un travail à temps plein ou du moins il n’est plus en études (sauf le cas particulier). Un adulte doit agir en connaissance de cause, avec réflexion (dans la pratique) et ce n’est certainement pas mon cas, moi qui agit bien souvent dans la spontanéité, mais j’en paye parfois le prix. Enfin, un adulte a des responsabilités, je commence à en avoir et ça fou franchement la trouille !
Si je devais me présenter en quelques lignes, je dirais que je suis une fille plutôt normale qui a été élevée dans un foyer modeste et aimant. J’ai un caractère assez trempé et des valeurs fondamentales. Je suis de taille moyenne, j’ai un style vestimentaire basique, un niveau intellectuel dans la moyenne. En sommes, je suis une fille banale (j’ai grosse une forte tendance à me sous-estimer, la faute à une certaine timidité tenace). Pour moi, le meilleur moyen de m’exprimer c’est d’écrire, d’où l’existence de “Chroniques d’une jeune adulte”.
Je tiens ce blog depuis 5 ans. L’aventure a débuté lors de ma première année de licence à Rennes, en information et communication. Au départ, j’avais l’idée de faire un blog dédié aux questions quotidiennes, à mes observations, mes coups de gueule… Aujourd’hui, je suis plus dans une démarche de partage, et ce que je veux partager avec vous, ce sont surtout mes coups de coeur. Ce que je souhaite avant tout c’est de partager ce qui fait mon bonheur, mon bien-être.
En 5 ans, j’ai non seulement validé ma licence et mon master mais (j’espère), fait des progrès dans ma façon d’écrire. Si vous avez des observations, des critiques, des conseils à me donner, n’hésitez pas une seule seconde, car c’est comme cela que je m’améliorerais.