Retour aux choses sérieuses. Fini de partager des articles de Preview et place à mes articles ! Je suis contente de pouvoir à nouveau vous écrire. Cette semaine, vous avez le droit à deux articles, bande de veinards ! Je ne peux pas vous promettre de réussir à garder ce rythme pour les semaines qui vont suivre. Mais au moins, je rattrape un peu mon retard ! Alors cette semaine, j’ai décidé de reprendre mes vieilles habitudes et de vous parler d’une série. J’ai décidé de vous parler de Supergirl, une série que je suis depuis l’année dernière. Je voulais voir comment évoluait le concept avant de vous en parler.
Supergirl, une femme pas si sage que ça
En fait, je vous ai déjà parlé de cette série ! Si si, je vous jure que c’est vrai. Si vous me suivez sur le webzine Les Plumettes, vous savez de quoi je parle. J’avais fait un article sur les superhéros au féminin. Kara Zor-El alias Supergirl est assistante chez CatCo World Média. Sous ces airs de fille sage, timide, bien dans les rangs, elle cache un gros secret. C’est une kryptonienne. Eh oui, comme Kal-El ! Je préviens direct, je n’ai pas suivi la série Smallville, mais ça ne m’empêche pas de suivre cette série. Par contre, j’ai vu The Man of Steel de Zack Snyder sorti en 2013, et j’ai adoré. Donc notre Kara a été envoyé sur terre lorsque Krypton partait en miettes pour veiller sur son cousin Kal-El. Mais son vaisseau s’est perdu dans un trou noir. Et lorsqu’elle arrive sur terre, Kal-El alias Clark Kent a déjà bien grandi et est devenu Superman.
Supergirl, Supersister
Maintenant que le contexte est posé, je vais vous dire pourquoi j’aime cette série. En fait, je me retrouve un peu dans Kara. Non, je n’ai pas de super pouvoirs, mais moi aussi je me suis récemment révélée au monde. C’est lors d’un crash d’avion dans lequel se trouvait sa grande soeur que Kara décide d’exposer ses pouvoirs au monde entier. Je ne saurais pas déterminer exactement quel évènement m’a poussé à changer, mais il est vrai que je me suis beaucoup renouvelée ces derniers temps. J’ai laissé tomber ma réserve, ma timidité pour laisser voir aux autres mon côté enjoué, drôle et dynamique. J’ose, je ne reste plus sur la touche et je me sens vraiment mieux comme ça. Assez parlé de moi, revenons à nos moutons ou plutôt à notre Supergirl. Évidement, si j’aime cette série, c’est parce qu’une femme est à l’honneur comme dans Véronica Mars, Revenge, Quantico, The 100 ou Reign. Dès qu’une femme est un peu bad-ass dans une série, j’accroche direct. Mais si j’ai aussi bien accroché à la série, c’est grâce à la relation entre Kara et sa soeur, Alex. À vrai dire, j’aimerais être aussi proche de ma soeur. Voilà que je reparle de ma vie ! Ça me touche de voir qu’elles sont autant dévouées l’une à l’autre. Bien sûr je ferais n’importe quoi pour sauver ma soeur, mais je ne suis pas aussi intime avec elle.
On ne va pas se mentir, cette série n’est pas parfaite. Il y a quelques zones d’ombre. Déjà, je ne comprends pas toujours le personnage de Kara. Elle prend parfois des décisions que je ne trouve pas très cohérentes. Ce qui la rend un peu niaise. Ensuite, je trouve que le personnage n’a pas été trop creusé au niveau sentimental. C’est un peu comme si l’on mettait une intrigue avec un garçon parce qu’il faut une histoire d’amour pour que ça marche. Mais le personnage de Kara ne semble pas avoir d’affect ou de fibre romantique. Je trouve cela dommage que l’on n’ait pas approfondi les sentiments du personnage principal plus que ça. Le spectateur est donc face à une coquille vide. Une femme qui s’est révélée sur le plan héroïque dans la saison 1 et qui continue d’évoluer dans la saison 2 notamment sur le plan professionnel. Mais ses émotions semblent absentes. On reste sur notre faim. On veut en savoir plus sur cette femme, qui est-elle au fond ?